Etat des lieux et stratégie climatique en Polynésie française

Publié 20-09-2023 par PCPF_Baptiste

Dans la perspective d'élaborer une nouvelle feuille de route climatique en Polynésie française. Un travail de diagnostic territorial était primordial afin de mettre en lumière les principaux enjeux du territoire et identifier les leviers d’actions les plus pertinents.

C’est sur cette base et à travers différents temps de concertation avec l'ensemble des acteurs du Fenua qu'a pu ensuite être déterminés des objectifs à la fois ambitieux et atteignables à l'horizon 2030. Le COPIL a décidé en séance, à l’unanimité, de retenir la trajectoire climatique correspondant au scénario 4, à savoir un objectif de 5,5 tonnes de CO2/hab/an à horizon 2030, soit une division par deux de l'empreinte carbone polynésienne.

Les résultats des phases "Etat des lieux" et "Stratégie" du Plan Climat 2022-2030 sont désormais validés et disponibles ci dessous :


Ressources

  • ETAT DES LIEUX COMPLET

    Un état des lieux complet de la situation énergétique, l’estimation des émissions territoriales de gaz à effet de serre et de leur potentiel de réduction, l’estimation des émissions de polluants atmosphériques, l’estimation de la séquestration nette de CO2 et l’analyse de la vulnérabilité du territoire aux effets du changement climatique.

  • SYNTHESE DE L'ETAT DES LIEUX

    Synthèse à l'attention des décideurs

  • OBJECTIFS TERRITORIAUX ET STRATEGIE PARTAGEE

    La stratégie territoriale implique de se projeter de manière réaliste, en tenant compte des moyens dont disposent le territoire. Afin de guider les choix des décideurs et de leur permettre une bonne appropriation du sujet, il a été proposé différents scénarios prospectifs d’évolution, notamment en termes de consommation d’énergie, de production et d’émissions de GES à horizon 2030.

  • SYNTHESE DE LA STRATEGIE CLIMATIQUE

    Synthèse à l'attention des décideurs

Commentaires

lemdav
lemdav (david lemaire)
lemdav (david LEMAIRE)
1697438362
#47 - 16-10-2023
lemdav
A première vue il manque deux groupes de travail très importants.
- Le groupe EMPLOIS pour son adaptabilité et sa transformation...réorientation ..besoins ...formation etc...
et
- Le groupe SOCIAL .
Pour l' adaptabilité sociétale , l'accompagnement au changement , le changement de récit politique et de sociétés "tendre à orienter vers une perception d'augmentation de la qualité de vie sans augmentation du PIB (sans niaiserie surtout)".
--- Et enfin et surtout , s' occuper de tout ceux qui trinquent déjà socialement pour améliorer leur minimas . Sinon la demande de changement sera rejetée en force et la situation deviendra explosive.
Idéalement les embarquer dans un New Deal climatique en leur donnant comme travail la réalisations des outils....des barrages hydroélectriques serait utiles par exemples.
0
lemdav
lemdav (david lemaire)
lemdav (david LEMAIRE)
1698733487
#49 - 31-10-2023
lemdav
Scénario 4A : Virage sociétal avec un effort particulier sur les déplacements et l’alimentation

Atténuation conséquente sur les émissions importées,




ÉNERGIE CONSOMMATION

Les actions fortes de sensibilisation et les comportements des consommateurs (individuels et professionnels) réduisent les besoins électriques de 20% et le développement très fort des énergies renouvelables permet de couvrir 93% des besoins en énergie renouvelable locale (malgré la demande accrue par le développement très fort de l’électromobilité qui représente 25% des véhicules légers).

La Sensibilisation ne suffira pas, il faut aussi à part égales :
Au début des incitations financées en partie pars des obligations .
Ainsi que la mise en places de gardes fous réglementaires , ayant un volet très adaptatif.
Ceci pour éviter les effets d’aubaines , contournements, et l’effet le plus a risque « l’effet rebond ».
Il faut limiter par touts moyens l'utilisation d'énergie pour le non essentiel et maximiser sont utilisation efficiente pour les secteur essentiels.

1/Actions concrètes organisationnelles:

- La sensibilisation :

Formation scolaire et professionnelle en continu à l’efficience énergétique multidisciplinaire/sectorielle permettra de s’adapter et de rester durable.
L’amélioration du bilant carbone permettant une meilleure résilience insulaire face aux importations en énergie et matériaux il est primordial d’intégrer les notions de celui-ci dans toutes les filières scolaires générales , et de manière plus approfondie dans les formations aux métiers, quasi tous dépendants des importations.
De la communication médiatique et affichages civique continu.

- Incitation et obligation :
La nécessitée de communication médiatique et affichages civique continu implique une mise en cohérence de celle-ci,
D’où une formation obligatoire de tous les médias et communicants au sujet énergie- climat.
Interdiction du greenwasing publicitaire ( sous peine d’amendes) et taxe élevé sur les publicités incitant à la consommation de produits non durables et négatifs pour la santé /environnement.
Le produit de cette taxe est affectée à l’incitation de publicités et communications officielles réellement durables .
- Un exemple très emblématique sensibilisation -incitation :
Sans obligations :
« Installez des LED c’est plus économe et écologique,,,on vous les fait hors taxes à l’import,,, »
Résultat :
1 er effet Rebond : « puisque je vais économiser , j’achète plus , j’éclaire plus, » ( donc je gaspille autant d’électricité, )
2 eme effet Rebond : Je l’importe hors taxes donc , j’augmente ma marge bénéficiaire , je m’enrichis sans bénéfice pour l’environnement et m’achète une Ferrari,,,
3 eme effet rebond : Énorme augmentation de l’empreinte carbone à l’importation , car les LED demandent des extraction minières fortement émettrices de Co² et énormément plus élevées que les ampoules précédentes.
4 eme effet : Porte ouverte au greenwasing , « mettez des led et cela suffira,,, » alors qu’aujourd’hui la consommation d e l’éclairage électrique personnel et quasi marginal,,,

-Avec obligations :
« Installez des LED c’est plus économe et écologique,,,on donne une exonération au importateurs qui acceptent de donner en échange leur comptabilité sur ce type de produit et limiter leurs marges », il on droit de ne pas vouloir participer dans ce cas ils n’ont pas l  ‘exonération, c’est leur choix.
Ce qui à réglé l’effet rebond 2,
Pour l’effet rebond 1 :
Mettre un tarif EDT de nuit bien plus élevé, et moins cher la journée ( auto- compensation puis garder un différentiel).
Cette solution à un triple effet Kiss cool = Cela atténue l’effet rebond 3 et gomme complètement l’effet rebond d’ une augmentation du parc solaire et mobilité électrique  ainsi que de l’insatiabilité réseau,
Ceci associé à un droit puis une obligation à la prise basse puissance pour véhicule VE au travail , avec en parallèle des incitations comme suit :
Un tarif par kw avantageux n1 pour les entreprises qui respectent les quotas de prises, et un tarif + avantageux n2 pour les entreprises qui installent du solaire en adéquation avec ses prises VE ,
(voir actions concrètes structurelles et /Mobilité/Aménagement).


1/Actions concrètes structurelles:

Malgré toutes les actions de réduction des besoins énergétiques , il faudra augmenter très fortement la production électrique bas carbone pour remplacer au maximum l’utilisation de pétrole.
A Tahiti les deux utilisation en énergie bas carbone sont le solaire et l’hydroélectricité.
Le souci du solaire est qu’il ne produit pas à la demande , sa production est variable, le stockage par batteries lui est très peux résilient, peux durable.
Hydro-électricité lui peut produire à la demande, est très résilient et durable .,
Toutefois il trouve ses limites dans une variabilité saisonnière .
Il faut augmenter la production solaire et hydroélectrique mais il faut équilibrer le réseau entre les variabilités de production solaire en journée et surtout la nuit .
Bien que le pilotage de l’hydroélectrique puisse amortir ces variations , on ne peut l’ utiliser sans limites pour absorber cette variabilité .
Cela impliquerait de surdimensionner le réseau ,ce qui augmenterait l’empreinte carbone et ferait exploser les coûts.
Et ll n’y a pas assez de barrages et pas encore de production au fil de l’eau.

1)La Première action structurelle E1légère à fort impact serait  :
- la modifications des compteur électriques pour mettre en place un tarif plus bas la journée ou il y a surproduction solaire et plus élevée la nuit .
Car c’est la nuit ou il coûte plus cher de produire bas carbone et ou l’on veux préserver les réserves hydroélectriques pour la variabilité journalière.

2)En relation avec ce tarif jour/nuit et relié au droit à la prise au travail, la deuxième action structurelle E2 légère serait :

- La mise en place de prises de recharges basse puissance à puissance pilotée par EDT qui permettrait de faire varier de 50 % la puissance de charge . Ou peut être même plus simplement à coupure à distance momentanée et avec une moyenne max assurée par jour.
Ceci permettrait de réguler beaucoup plus facilement le réseau électrique et lisser de la production solaire.
Et d’augmenter ainsi plus facilement le taux de production solaire.
Ces prises pilotés pourrait être autant sur le réseau d’éclairage public le jour, que dans les entreprises ou chez les particuliers qui le souhaitent,
Bien sur l’usage de ses prises permettrait un abonnement EDT mensuel réduit .
Cela permettrait d’encore plus utiliser la recharges des batteries des VE comme un régulateur de réseau électrique.
Une fausse bonne idée :« utiliser les batteries des VE pour réinjecter de l’énergie dans le réseau est possible » , pourtant coûte beaucoup plus cher en inverters , et vas ce heurter à l’égoïsme humain.

Vu que l’énergie utilisé dans les véhicules est la plus grosse part dans la pollution et que le Ve à batterie permet de beaucoup diminuer l’empreinte CO² alors il faut prioriser l’utilisation des batteries dans les VE .
C’est pourquoi utiliser l’énergie SOLAIRE en priorisant , favorisant et régulant la recharge des véhicules électriques permet d’éviter des coûteuses installations fixes de fermes à batteries massives et non résilientes .
Alors qu’ un parc de véhicules et camions de marchandises restera indispensable et fera le même travail en étant constamment renouvelé .
Enfin et surtout annule l’impact de la mobilité électrique sur le réseau énergétique.

3) La troisième action structurelle E3 à fort impact serait :
L’augmentation de la production hydroélectrique .
Car c’est la source bas carbone la plus résilient et durable tout en étant très bénéfique pour la stabilité du réseau et beaucoup moins sujette au variations économiques étrangères ,
Variations qui arriverons du fait de la problématique des ressources mondiale certaine et la moins chère dans le temps .
Ceci au contraire du solaire qui dépendra pour longtemps encore des fossiles.
La seul variable diminuant peut être faiblement sont efficacité, serait un diminution des pluies , cette variable reste faible du fait du climat tropical.
Et enfin peut être il ne peut être construit assez de barrages en plus.
Toutefois cette variable peut être prise en compte à la hauteur de sa faible importance et dans les bons ordres de grandeur par l’action structurel E4 Suivante.
4)La Quatrième action structurelle E4 à impact serait :
Pour augmenter la production d ‘énergies renouvelables solaires il faut prendre en compte le besoin de stockage qui peut être pris en charge par la mise en place de S.T.E.P acronyme de « stations de transfert d'énergie par pompage ». sur les infrastructures hydroélectriques existantes .
S.T.E.P qui justement apporterons à l’hydroélectricité plus de résilience en cas de variation des pluies , le surplus de soleil correspondant à la saison sèche,,,

5)La cinquième action structurelle E5 à impact serait :
Par le biais du triptyque sensibilisation/Incitation /Obligation et en relation avec E4 -E2- et E1.

L’augmentation de la production solaire résidentielle , commerciale et industrielle auto- consommé en priorisant les toitures.
Ceci permet de limiter l’usage du réseau et les perte énergétiques afférentes, et préserve la capacité de production agricole.

Pour ce qui est des installations de production électrique industrielles pour le réseau prioriser les toitures ,les parkings et bâtis ou terres infertiles.
D’ autre part que leur investissement intègrent une participation financière Au STEP vus en E4 pour leur stockage énergétique.
Enfin la majorité de l’énergie ne peut etre produite par ce biais pour :
- Le risque cyclonique qui grandira de toute manière du fait de l’inertie du réchauffement climatique océanique.
Très peux de champs solaires résisterons au cyclones de par les débris projectiles.
- les raison techniques d’équilibrage réseau et stockage nuit déjà évoquées ,
- Et surtout pour plus de résilience face à la pénurie de majeur métaux qui menace le renouvellement de ces moyens d e productions ainsi que leur impact environnemental désastreux surtout additionné de stockage dédié.
- Plus de résilience face au enjeux géopolitiques asiatiques.
- Plus de résilience face à la pénurie des fossiles permettant de les fabriquer versus /forte variabilité des coûts .


6) La 6 em action structurelle à longue à très fort impact E6 serait :
Malgré tous les développements E1à E5 pour augmenter la production électrique, il manquera la solution permettant de remplacer la production électrique fossile actuelle.

Par le biais du triptyque sensibilisation/Incitation /Obligation ,
Si sur Tetiaroa via expropriation, si sur Hitia et auprès des barrages existants de EDT pas d’expropriation .
Le remplacement de la production thermique électrique actuelle par les nouveau petits réacteur nucléaires transportables.
Ceci avec un financement en réparation des essais nucléaires par exemple.
Qui sont beaucoup plus surs que les gros et parfaitement adaptées au remplacement du besoin.
Peuvent êtres importés, permettent d’être résilients 50 A 80 ANS jusqu’à mieux.

/Mobilité/Aménagement

(Voir M chiffre et A chiffre, pour Mobilité et Aménagement,)
Le premier moyen de diminuer les fossile dans le véhicules est de généraliser le VE tout en limitant le nombre maximum de véhicules.
Cela peut être par sensibilisation ,incitatif, et en obligeant , pour de vraies agencées et éviter l’effet rebond les 3 seront nécessaires.

1)La Première action structurelle M1 serait :
- La deuxième voiture par couple est fortement taxé même si VE ( sauf peut être si VE quadricycle).

2)La deuxième action structurelle A2 serait :
- En effet miroir de M1et proportionnellement au intrants de ces taxes :
L’aménagement et fabrication des pistes cyclables est financé par ces intrants de taxes.

3)La Troisième action structurelle M3 serait :
En effet miroir de M1et proportionnellement au intrants de ces taxes :
La mobilités par les vélos +Vae et leurs pièces durables sont aidées sous réserves d’acceptation de déclarations de marges et leurs plafonnement. Le VELO +vae DEVIENT UN CASI PPN,,,
- la batterie Vae à une consigne.

4) La Quatrième action structurelle A4 serait :
- Création de centre de formation à la repartions des batteries Vae ,
- Puis à la transformation des batteries de voiture usagées en BATTERIES SOLAIRES qui resterons utiles pour l’habitat isolé et les îles éloignées,
5) La cinquième action structurelle A5 serait :
- La prise de parts territoriales dans le fret maritime pour batteries de véhicules pour abaisser et limiter les marges de ce secteur primordial pour la décarbonation et sa pérennité.
En imposant peux a peux une législation prenant en compte la TRÈS forte baisse de dangerosités des batteries lithium FER est lithium solides, Ceci en relations avec les assurances maritimes.

6) La sixième action structurelle M6 serait :
- Aider à l’achat des 2 roues et voitures électriques en contrôlant les marges pour éviter un effet de vol de celle-ci et peut être la verser directement au client final.

- Plus tard A partir d’un certain seuil calculer, quand la surtaxe sur les véhicules essence lourds et deuxième véhicule Ve rapportera moins, taxer les véhicules électriques en fonction de leur poids , efficience énergétique et durabilité (garantie) Idéalement à la fin seul les véhicules 4 places de moins d’une tonne et plus de 10 ans de garantie batterie serait exonérés,
- Chaque année interdire à l’importation les gammes de voitures au dessus d’un poids , commencer à 2 tonnes 200, et finir à 1 tonne 600,

7) La sixième action structurelle M7serait :
Favoriser l’importation de CAMIONS Électriques car les marchandises en aurons besoin, avec une aide mais en contrôlant les marges pour éviter un effet de vol de celle-ci et peut être la verser directement au client final.

8) l’action structurelle A8 serait 
Monter un réseau de tellurique transport en commun passant par les crêtes des vallées sur la côte des 50 à 200 MÈTRES,

9/ l’action structurelle A FORT IMPACT A9 serait 
Une grande partie de l’empreinte carbone étant lié à l’importation et au transport,
Donc il faut agir en effet miroir :
- d’un coté taxer moins le fret maritime et plus le fret aérien,
- D’un coté taxer plus les marchandises qui rendent dépendantes des fossiles et de leur variabilité de par leur empreinte carbone, et de l’autre coté taxer moins les marchandises renforçant la résilience et moins dépendants des fossiles.
En gros une forme de Mécanisme d’Ajustement carbone Inspiré du MACF européen Mais adapté à notre besoin insulaire de résilience.,,,
a suivre,,,
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lemdav
lemdav (david lemaire)
lemdav (david LEMAIRE)
1698811827
#50 - 01-11-2023
corrections commentaire précedent
erreurs de frappe à corriger :
au début , a la phrase : "Cette solution à un triple effet Kiss cool = Cela atténue l’effet rebond 3 et gomme complètement l’effet rebond d’ une augmentation du parc solaire et mobilité électrique  ainsi que de l’instabilité réseau, " lire l’instabilité et non pas "insatiabilité"....
Puis à "8) l’action structurelle A8 " lire Téléphérique en commun plutôt que tellurique....
La fonction modifier pourrait être utile sur le site.
Merci.
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lemdav
lemdav (david lemaire)
lemdav (david LEMAIRE)
1698813073
#51 - 01-11-2023

Remarques sur la co-construction PCPF d'aujourduit

Il serait plus productif et agréable d'avoir à chaque table/ pilier un expert qui connait les ordres de grandeurs et l’ingénierie de se secteur , et qui à aussi été formé au autres au implications dans les autres thèmes et secteurs.
Cela permettrait de vite poser des chiffres ou faisabilité/ implications des idées proposées pour plus vite choisir les plus utiles.
Le facilitateur doit être sachant (riche) et capables de contrôler le débat.
Beaucoup manquent de connaissances multisectorielles et transverses sur les sujets.
Ce qui est normal cette présence aiderait donc.
D'autre part le temps de travail sur les sujet est trop cours il devrait ce mener sur 2 à 3 jour , avec mise en parallèle avec les chiffres des vrais ordres de grandeur.
Ceci permettrait un meilleur sentiment d'efficacité pour les participant qui aurons donc envie de revenir participer...
A ce sujet vous aurez remarqué que personne n'a écrit le chiffrage des idées ou des intervenant..ne ce sentant pas légitimes pour le faire et sans le temps ni les moyens techniques de le vérifier.
A ce sujet un geek de la recherche Google sur pc par groupe pourrait être utile , pour sourcer rapidement les idées. ( oui je sait empreinte numérique,,juste éviter les vidéo et c'est bon)
Ps:
Si ces réunion sur plusieurs jours sont mises en place, c'est moins bon pour l'empreinte carbone , mais des salles de travail climatisées de la présidence ou de l’université peuvent être une idée...
Car l’après midi la productivité baisse..

Climatiquement vôtre...vous avez de l’énergie...à multiplier
A suivre...

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AE_LudovicSchneider
ae_ludovicschneider (ludovic schneider)
AE_LudovicSchneider (Ludovic Schneider)
1698893166
#52 - 02-11-2023
De la concertation...
Merci David (@lemdav) pour tes différents commentaires et tes propositions.
Concernant la concertation, il y avait pour les forums des "facilitateurs" et des "experts". Les facilitateurs ne sont pas des experts des enjeux climatiques mais ils sont présents pour "faciliter" la coopération et la concertation. Au-delà de l'expertise dont chacun des participants dispose sur ses champs d'action (et je suis heureux de constater la forte participation de beaucoup de sachants... que ce soit sur l'énergie, la mobilité, l'agriculture et l'alimentation, la consommation, les déchets, l'aménagement du territoire, la sensibilisation et la communication, etc.), nous étions donc 5 personnes, à la disposition de chacun tout au long de la journée, pour répondre aux questions, réagir aux propositions, etc. Et en particulier Baptiste et moi qui circulions au sein de l'ensemble des groupes en fonction des besoins et des sollicitations.
Pour le reste, une journée complète représente déjà une mobilisation pas évidente pour beaucoup. C'est donc un choix délibéré de ne pas aller plus dans le détail mais d'organiser dans ce type de concertation des échanges qui permettent ensuite de poursuivre la réflexion en plus petits groupes puis de rédiger des fiches action par les coordinateurs des actions qui constitueront le Plan climat, éclairés par toutes ces contributions issues de la concertation.
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